In memoriam

Mil nudos en mi garganta s e hacen bola, como en los de una gata antes de arrojar una bola de nieve hecha de canas, mientras en mi estómago se va urdiendo otro nudo, y en mi cabeza mil alaridos que amamantan cada aullido sin que logre acallarlos.

J'espérais que tu allais reprendre des forces et pourrais bientôt rentrer chez toi, chez notre antre de toujours, et pouvoir chanter en duo " La vie en rose "...

Aujourd'huije ne suis pas étonnée de constater face à ce bocal de cendres, le regard consterné de tous ces goujats, de tous ces hypocrites...

Ils n'assument ni n'assumeront jamais la différence entre il y a quinze jours et aujourd'hui et celle entre un con vivant et un con mort car c'est/c'était la même pour eux...

En réalité, ils s'en veulent de ne pas avoir su déceler, dans leur connerie, assez de vulnérabilité ou pire encore, ils s'en veulent d'avoir été indifférentsaux cris que n'importe quel être humain, peut envoyer sans aucun écho au retour... mais tu sais bien...

y ya no se acordará ni Dios...

Que je t'aime, et t'aimerais, comme le premier jour...

Esta entrada está programada y me nació en francés... el martes pasado.

No tengo fuerzas hoy para escribirla de ninguna otra manera.